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12/11/2018

NOUVEAU LIVRE BUGATTI PAR BERNARD PECAUD : rue Ettore Bugatti thème maquettes, également émaux sur cuivre de Vincent Pécaud

RUE ETTORE BUGATTI, HISTOIRE DE LA MARQUE D'AUTOMOBILES A TRAVERS UNE COLLECTION DE MAQUETTES ET D'EMAUX (éditions Vincent Pécaud)

L'ouvrage comprend 294 pages couleurs d'illustrations et 607 pages noir et blanc

ISBN 978-2-9528651-9-7  dépôt légal octobre 2018

prix de vente 185 euros  + frais envoi (France 13,50)

Information et commande :

Galerie Vincent Pécaud 21 rue Elie Berthet 87000 Limoges

tel 05 55 34 35 47               pecaudvincent@club-internet.fr

 

Bernard Pécaud, extrait de la préface  :

OU COMMENCE LE MYTHE ? OU S’ARRETE LA PASSION ? QUELLE EST LA PART DE LA LEGENDE ?

 

Autant de questions auxquelles, à propos des « AUTOMOBILES BUGATTI », je me suis efforcé de répondre dans ce « RUE ETTORE BUGATTI ». Ayant lu et relu quantité appréciable de l’abondante littérature consacrée à l’œuvre automobile des « BUGATTI », j’ai certes acquis quelques certitudes, mais j’ai, pour le moins, accumulé tout autant de doutes...je me suis posé un certain nombre de questions. Pour essayer d’y porter réponses, j’ai pris le temps de disséquer textes, clichés ou dessins, d’interroger le « souvenir » de celles ou de ceux qui « de visu » avaient côtoyé le Patron, et Jean, ou Roland, ou les autres, tous les autres pilotes et mécaniciens, bref, de comparer …

De cet ouvrage j’ai, à travers une collection de maquettes au 1 / 43ème et d’émaux réalisés, eux en pièces uniques, par Vincent Pécaud, traité des AUTOMOBILES BUGATTI, et, accessoirement des autres réalisations mécaniques du Patron.

Avant Molsheim, correspond le temps des ébauches … chez Prinetti et Stucchi, pour les frères Giulinelli, chez De Dietrich, avec Mathis, chez Deutz, … pour aboutit au déclic avec le « Petit Pur Sang » , alias T. 10.

Puis vint, à Molsheim, le temps des premières armes des T. 13 quatre cylindres 1 A.C.T. , huit soupapes … jusqu’aux T. 101 huit cylindres à 2 A.C.T. et derniers prototypes … sport, tourisme, grand tourisme … toutes voitures de grande classe ;

parallèlement, sur les circuits routiers et les pistes, les bolides de Molsheim, connurent « la gloire en bleu » … parfois aussi en livrée blanche, verte, rouge ou jaune … minuscule T. 13 de l’A.C.F. 1910 au Mans, merveilleux Brescia 4 cylindre seize soupapes, huit cylindres T. 35 et tous ses dérivés, en passant par les extravagants T. 53 à quatre roues motrices, pour en arriver aux plus belles des bi-places de course jamais construites les T. 59 …toute gloire rendue possible par la clairvoyance d’Ettore et celle de Jean, le labeur acharné des mécanos de course, et les qualité remarquables des pilotes maison, comme des women et gentlemen driver’s fiers de courir au volant d’une Bugatti...et puis il y a eu ces extraordinaires Royales, fantastiques Bugatti dont le radiateur fut orné de l’Eléphant de Rembrandt, suprême hommage d’Ettore à son frère aîné.

Vint enfin le temps des collectionneurs passionnés ou spéculateurs, passion qui, des plus heureusement qu’il soit, préserva nombre des créations d’Ettore et de Jean...temps suivi de celui des « apocryphes » qui rachetèrent le nom et l’écusson des BUGATTI...

 

UNE COLLECTION DE MAQUETTES DE « BUGATTI » !

Quand on a en mains la première pièce qui sera plus tard le premier élément de ce qui deviendra petit à petit une collection, on ne se doute pas qu’elle contient en elle même un virus amorce d’une collection … Quoiqu’il en soit on arrive toujours à se rappeler du jour où on se l’est procurée … et ainsi quand on a commencé cette collection … par contre, quand on entreprend de rassembler les pièces d’une collection, on ne sait pas du tout quand celle-ci sera achevée, et si même on arrivera à trouver la der des der, celle qui manque et vous manquera vraisemblablement toujours, celle qui permettrait d’accrocher, à côté de l’ultime trouvaille, la pancarte « fin » … Pensant à l’époque avoir collecté suffisamment de pièces maîtresses, j’avais des décembre 1999 entrepris, à partir des maquettes de Bugatti bien alignées dans mes vitrines, la rédaction du présent ouvrage … et puis au fil du temps, aux voitures d’Ettore, aux créations du Patron et de Jean, aux ultimes sursauts de Molsheim après la mort du Patron, vinrent s’ajouter l’aventure de Campogaliano, suivie de l’a saga voulue par l’extraordinaire Monsieur Piesch de chez Volkswagen … ou de Stuttgart à Molsheim, sous le signe de Bugatti Automobiles SAS ! Ayant rassemblé pratiquement des maquettes de chacun des types de voitures étudiées, élaborées ou construites sous l’œil du patron, de Jean ou de Roland et Pierre Marco, comme des voitures nées avant Molsheim, ou postérieurement à Molsheim, en Italie ou en Allemagne, j’ai, autant que faire se peut, essayé pour chacun et chacune d’en expliquer l’origine, d’en rappeler les caractéristiques essentielles, d’en conter l’histoire, pour l’essentiel d’évoquer la bibliographie et l’iconographie s’y rapportant … et bien sur de donner les références des maquettes y afférant … tous deux rendant hommage au Patron et à Jean, faisant précéder le nom de chacune de leurs nouveautés de la mention »EB »

.si parfois les données ainsi recueillies ont donné lieu à réflexions, celles-ci ont été bénéfiques en permettant de clarifier certaines zones d’ombre ….

Merci à tous ces artisans et petits producteurs maquettistes qui ont ouvert la voie…Et merci aussi à Vincent Pécaud, artiste peintre et émailleur, pour ses visions très personnelles du Patron et de ses créations, visions qu’il a transcrit sur la toile ou le cuivre grâce à l’alchimie du feu … et dont un certains nombre d’œuvres complètent en cet ouvrage les clichés des maquettes et des voitures de référence.

 

A l’origine, il y eut une vraie … un T. 37 … au début des années cinquante … ou quant une Bugatti sensiblement du même age que l’auteur valait moins cher qu’une 4 CV Renault neuve !

Et puis, en 1956, la marque Rami mit sur le marché un T. 35, qui malgré ses défauts, volant à trois branches au lieu des quatre réglementaires pour « la marque «  , un échappement latéral apparent … mais une amorce tangible pour démarrer une collection de maquettes, orientée, au fil du temps...

 

RUE ETTORE BUGATTI ?

Tout comme à Molsheim, il existe une rue Ettore Bugatti à Limoges, à peine à deux lieues de notre maison familiale ; dans celle-ci, dans « la maison » , s’ouvraient les portes du domaine particulier de chacun des enfants … sur les espaces laissés vides sur les murs étaient accrochées les vitrines abritant les maquettes des Bugatti, et trophées divers évoquant « la Marque » , si bien que les enfants l ‘appelaient « Molsheim » … jusqu’au jour où le plus jeune dégotta une plaque de rue en tôle émaillée sur laquelle on pouvait lire « Ettore Bugatti 1881 – 1947 » … et la fixa, bien en évidence, au début du couloir … c’est ainsi que ma collection de maquettes de Bugatti prit le nom de « RUE ETTORE BUGATTI »…

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10:44 Publié dans ACTUALITE | Lien permanent | Commentaires (0) |

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